Les films de Jean-Louis
Au Château du Plessis Mareil
Scène : De la tour de l’œil au Château du Plessis Mareil
Avec Adèle Chupin et Oriane Landais
Stylisme : Vanessa Houé
Sur un mur vert, près de l’école de musique de Paimboeuf, en face de la raffinerie.
« Peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques »
Arthur Rimbaud
La lecture « alchimique » du Songe de Poliphile, offrit à des auteurs comme Jacques Gohory, Giovan Battista Nazari, Béroalde de Verville, Thomas Vaughan, ainsi qu’à divers auteurs allemands le modèle d’un jardin initiatique semé de grottes, de fontaines, de décors sous forme de vestiges architecturaux dont chaque étape marque un stade nouveau dans les révélations progressives des secrets du grand œuvre…
Jacques Gohory : « Le Livre de la fontaine périlleuse, avec la chartre d’amours, autrement intitulé le Songe du verger « (1572)
Course poursuite dans les pêcheries, dans les roseaux sauvages, jusqu’à la tour de l’œil. Adèle et Douce se cherchent, chenilles processionnaires et vues sur la raffinerie de Donges.
Ici peut-être entre 7 et 8 le colombier magnifique avec Douce pour laquelle Vanessa est en train de faire une robe blanche avec des carrés noirs ?
On peut faire comme ci elle rentrait dans la tour de l’œil, et l’intérieur se trouve être le colombier, la robe se trouve à l’intérieur, elle l’enfile, et danse avec.
Le Plessis Mareil :
Douce entre dans la chapelle abandonnée, elle voit une statuette égyptienne dans le soleil, trouve une étrange robe sur une chaise, elle tourne autour, la prend et l’enfile.
Adèle au violoncelle assise sur la chaise, habillée de noir. Dehors on entend les corbeaux, elle regarde quelque chose (elle a peut-être peur) en fait un buste doré égyptien, puis elle joue l’adagio de la sonate n°10 pour violoncelle de JB Barrière
Douce se dirige vers le pigeonnier, elle y entre et tourne dans l’espace exigu